Ces cadrages sont reliés par une ligne, « un fil conducteur », matérialisée par une cimaise noire et un soubassement ceinturant tout l’appartement.
Cette continuité dichrome est accentuée par des interruptions colorées au niveau des espaces techniques. Des portes coulissantes sans structure apparente, sorte de tableaux abstraits accrochés au mur, viennent signifier l’ouverture par l’utilisation d’une couleur complémentaire à la couleur ambiante de chaque pièce humide.
Le plan suit la logique de la distribution d’avant, avec la partie nocturne d’un côté et les espaces de réception de l’autre. Par contre, les pièces intermédiaires ou les espaces de connexion, changent de statut et deviennent de vrais espaces à vivre ; le hall d’entrée devient une bibliothèque et le premier dégagement un espace de bureau.